La demande en vaches laitières est moins soutenue
Les disponibilités dans les campagnes et les livraisons directes dans les abattoirs sont en repli. Ces baisses sont assez sensibles dans les réformes laitières. Du côté des races à viande, la demande est moins soutenue dans la viande haut de gamme à l’approche des vacances d’hiver et de la forte réduction d’activité dans les boucheries.
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Les tensions sur le secteur aval n’ont pas d’impact sur le commerce, ni sur les tarifs pratiqués dans les très bonnes femelles blondes d’Aquitaine, parthenaises ou limousines. Les tarifs se maintiennent également dans les charolaises de conformation U et R. Les blondes d’Aquitaine lourdes se vendent entre 6,00 et 6,30 €, et de 5,70 à 5,90 € dans les bonnes plus légères. Les tarifs des charolaises U se situent entre 5,45 et 5,60 €. Les vaches charolaises R+ lourdes et bien finies se vendent de 5,40 à 5,45 €, et de 5,2 à 5,40 € pour les vaches R.
Les transactions sont régulières, mais les abatteurs ont stabilisé les prix des réformes laitières à l’approche des vacances d’hiver. Les cours des prim’holsteins se situent entre 3,95 et 4,10 € dans les P+/O, et de 3,80 à 3,90 € dans la grande majorité des P=. Les bonnes normandes ou montbéliardes se vendent de 4,40 à 4,45 € et autour de 3,90 à 4,20 € dans les O en fonction du poids.
Le commerce reste fluide dans les jeunes bovins avec des tarifs qui restent attractifs.
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